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| les secrets de l univers | |
| | Auteur | Message |
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VALASAN .:: Colonel ::.
Nombre de messages : 324 Age : 41 Localisation : eure Date d'inscription : 06/11/2006
| Sujet: les secrets de l univers Mer 22 Nov - 21:25 | |
| 1er chapitre <au commencement>
Dans les montagnes d’Akram, il est dit qu’un enfant venu du ciel, apparaîtra le jour Saint de la création du monde. Il naîtra au cœur de la montagne, pour révéler un secret que les habitants ont oublié depuis des millénaires. Les prophéties parlent beaucoup de cette histoire. Un jour, un homme assez grand, d’une beauté unique, parla à chaque race en leur prévoyant l’arrivé d’un enfant, son enfant. Il mourut quelques jours après être venu sur terre. Il apprit à vivre avec les elfes et les humains, par contre les nains n’en furent que heureux car il ne pourrait pas fouiner dans leurs mines. Avide de trésors et de pièce d’or, les nains sont les moins partageurs, par contre leur accueil est très chaleureux. Chez les elfes, il apprit le langage des arbres et des animaux le maniement des arcs et des épées. Chez les humains, il apprit le métier de fermier et les différentes danses traditionnelles. Un soir de pleine lune, l’homme mourut, entouré des elfes et des humains. Dans son dernier souffle, il créa un médaillon qui disparu aussitôt. Le lendemain, ils célébrèrent l’enterrement en lui construisant une sépulture à son image, grande comme son pouvoir, majestueuse comme son allure. Les elfes chantèrent des complaintes, pendant que les humains déposèrent des ornements fleuris. C’est ainsi, que depuis ce jour, on fête cet événement, chaque race est conviée en apportant un présent qui sera déposé au pied de la sépulture. Personne ne sait comment cela peut se produire, mais les présents disparaissent après la fête. Pendant cette fête, on danse, on chante, on mange différents plats, mais surtout, les conflits entre les races disparaissent. C’est a cette fête que Ozalee rencontra liham, mais ils étaient encore jeunes, ceux ne fut que bien plus tard, en ce même jour, qu’apparut leur petit groupe pour retrouver l’enfant céleste. Ozalee, fait partie d’une famille noble d’elfes sylvains, grande silhouette, elle porte une élégante robe rouge, qui de ce fait, fut celle qu’on remarqua le plus. Son plus lointain parent, était présent lorsque l’homme arriva sur terre. A ses côtés, se tenait son père et sa mère, sur de magnifique dragon blanc, seul Ozalee en avait un de couleur noir, cadeau de son arrière grand père, mort au combat contre les gobols. De toute façon, il n’obéit qu’à sa voix. Elle venait souvent le voir, lorsqu’elle était enfant et depuis ils ne se quittent plus. Plusieurs elfes étaient déjà arrivés. Elfes verts ; elfes noirs , malgré leur mauvaise réputation ; elfes marines, peu d’entre eux viennent car ils sont mal à l’aise sur terre, ils préfèrent de loin la mer. Il y a aussi les nains, ceux-ci sont toujours prêt à faire la fête ; les humains, avec le clan Mcachak, le clan Mcyuna, Mcswann et le clan Mcawa. Liham, lui fait partie du clan Mcachak, c’est le fils du roi, l’un des rares humains à avoir le privilège d’avoir un contrat commercial avec les nains. Liham adore faire rire, il a beaucoup d’humour, qui peut parfois énerver les gens. De taille moyenne, cheveux brun, il porte un bouc qui lui donne l’air d’un jeune vagabond ; ses magnifiques yeux verts lui donne un regard innocent. Pour la fête, il s’est habillé d’un magnifique ensemble bleu marine, sertie de diamant. Accompagnez de son pére, il sera comme toujours le garçon le plus maladroit. Chez les nains, c’est beaucoup plus simple, il n’y a pas de clans, pas de races spéciales, simplement un peuple dirigé par un roi ou chef de guerre. Galaad est le neveu du roi, il adore faire la fête en buvant de la bière et chantant à tu tête. Il ne vient que pour la fête, en ce jour, il accompagne son cousin, le fils du chef Déodat car pour honorer la famille, il doit protéger son cousin. Galaad se fiche de son cousin, tout ce qui veut c’est que son oncle, le considère comme un adulte. Chez les nains, pour devenir un adulte, il faut passer une épreuve. Si on réussit, on écrit son nom sur un registre, mais si le roi n’accepte pas, il devra attendre cinquante ans pour réessayer. Les gobols ne viennent pas, pourtant ils sont invités mais n’honore pas cet événement. Les mages, sont les plus vieux êtres vivants, on pense qu’ils ont été les premiers mais, il n’en reste pas beaucoup, on en compte seulement six. Il y a Attilius qui vit avec les elfes ; Marwin, un peu plus jeune, mais utilise la magie blanche ; Geslaw est un peu bizarre mais adore faire la fête ; la prêtresse Farah vit dans une grotte avec des chauves souris et comme dans tout pays il y a des mages noirs, mais ici il n’y en a que deux, Enyeto qui est du même ages que Geslaw qui vit chez les gobols et Elias son apprentis, ce qui fait de lui le plus jeune des mages. Seul Attilius et ses compères ont le droit de venir à la fête. Cette année, il y a beaucoup de fleurs blanches, l’entrée est délimitée par une arche de lierre surmontée par des piliers de pierres blanches. Des fleurs roses et bleues, ont été posé sur ceux-ci, des guirlandes de soies ont été disposées un peu partout autour de la statue et au dessus du buffet. Les musiciens mettent en place leur orchestre ; cette musique est assez spéciale car elle regroupe chaque instrument de musique de chaque race présente. Les mélodies se mélangent entre elles, en harmonie, les gens dansent et certains chantent aucune de celles-ci ne se ressemblent, elles ne sont ni écrite, ni mémoriser ; tous les cinq ans, c’est une nouvelle romance musical qui est créée à chaque fois. Attilius s’avança vers l’autel, il tapa son bâton, sa voix fut amplifiée. « _ Chers amis, nous voilà enfin réunis au bout de cinq ans pour fêter cet événement. Comme à l’accoutume, les offrandes seront déposés au pied de la sépulture, mais il y a une nouvelle chose que l’on va célébrer ! La prophétie de l’enfant céleste arrive dans très peu de temps, c’est pour cela que je demande de l’aide. Enyeto est déjà entrain de manigancer un plan pour le sacrifier à ses dépends. _ Que veux tu que l’on fasse contre lui ! Rugit Elouan, le roi des elfes noirs. _ Mais rien Elouan ! Seulement d’arriver avant lui, à mettre l’enfant en surté. Si nous voulons qu’il reste envie et qu’il nous révèle le secret, il faut le protéger ! _ Nous ne savons pas dans qu’elle partie de la montagne d’Akram et de plus c’est à l autre c’est à l’autre bout du territoire. «
Geslaw, qui d’habitude ne participe pas aux conflits ou tout ce qui touche à la guerre, avait dit cette phrase si soudainement que ça en a surpris plus d’un. Attilius regarda son ami avec un air d’étonnement et de colère. Il s’avança vers lui et mit sa main sur son épaule. A ce moment là, le silence est tombé, pesant voir étouffant, comme si le temps s’était arrêté, attendant la moindre réaction des deux mages. Geslaw ne pu tenir plus longtemps le regard fixe de son collègue, et baissa le sien vers le sol.
« _ Pardonne moi, Attilius, je crois que j’ai trop bu de vin d’elfes ce soir ! _ Ce n’est pas grave Geslaw, mais tu as raison, c’est pour cela que j’accompagnerai les braves personnes, qui décideront d’accepter de venir ! _ Mais pour l’instant, amusons nous ! Ceux sont les pierres du feu qui nous dirons, qui partira à la recherche de l’enfant céleste. »
Tout le monde, s’avança vers la piste de danse, et d’autres plus gourmand, au buffet. Sur le côté, un peu dans l’ombre, se tenait les elfes noirs, Elouan et son fils Merwan, avec quelques hommes. Merwan était un beau jeune elfe de 24 ans, de longs cheveux noirs, avec deux nattes sur le côté des oreilles. Ses yeux ont une couleur assez spéciale, un bordeaux luisant très intense, presque comme la couleur d’un bon vieux vin rouge. Grand et mince, à travers ses vêtements, on peut voir se dessiner les muscles. Sa peau de couleur mate montrait qu’il passait beaucoup de temps en forêt. Son regard se fixa sur la piste de danse où Ozalee était entrain de dansait avec sa meilleure amie Manoah. Il la connu le jour de la saison de pêche à la fête de St Aqualias, chez le peuple marines. Cela ne l’enchantait guère de venir à cette fête ci, mais Ozalee a été la seule à le considéré comme un ami et depuis ce jour, il est secrètement amoureux. Malheureusement, à par le mélange entre les elfes verts et les sylvains, personnes n’a encore vu le mariage entre un elfe noir ou une autres races. Manoah est un elfe vert, mais elle fait parti aussi des elfes sylvains, elle a de longs cheveux blonds et de très beaux yeux bleus. Ses yeux, elle les tient de sa mère qui est un elfe sylvain, et sa peau d’un vert pâle de son père, elfe vert. C’est l’une des plus belles filles et les garçons lui courent après. Ozalee quand à elle, ses deux parents sont sylvains, elle est fine, élancée, de très long cheveux blond, des yeux bleus lumières et un teint de peau blanc virant sur le caramel. « _ Tu sais, je crois que Merwan te trouves à son goût ! Dommage qu’il ne fasse rien pour le montrer, il est plutôt pas mal comme garçon ! S’amusa Manoah. _ Au moins il n’est pas comme tous les autres, à venir te le demander sans arrêt, alors que tu as refusé la première fois. Et puis peut être qu’il est déjà prit, et puis son père ne le laissera jamais être avec un autre elfe qu’une de leur race. _ Et alors, il peut désobéir à mon père, s’il est réellement épris de moi ! Il n’arrête pas de te suivre du regard, depuis qu’on est arrivé sur la piste de danse. Invite le à danser ! _ Tu crois qu’il acceptera ? _ Essaye et demande lui ! Moi je vais voir Liham, il me plaît vraiment celui là. _ C’est un idiot, pour un humain ! Il ne grandira jamais, tu ferais mieux de trouver quelqu’un d’autre ! _ C’est ce que j aime chez lui ! «
Manoah, courut et sauta sur le dos de Liham. Celui-ci fut surpris mais accepta l’invitation à danser, tous les deux avaient le même âge, donc un peu gamin. Ozalee prit son courage à deux mains et s’avança avec légèreté vers Merwan. Lorsque celui-ci la vit, son cœur se mit à battre rapidement, depuis le début de la soirée, il n’avait pas pu la voir ou lui parlait, alors il ne savait pas où se mettre. Son père qui se tenait à côté de lui, aperçu son malaise et un sourire se dessina sur ses lèvres. Ozalee, une fois devant eux, salua tout d’abord le roi Elouan et se tourna ensuite vers Merwan.
« _Roi Elouan, je vous souhaite la bienvenue, passez vous une bonne soirée ? _ Elle est excellente cette année, mais tu deviens aussi jolie que ta mère ! _ Merci, je voudrais savoir si Merwan voulais bien danser avec moi ?
Elle baissa les yeux pour éviter de rougir, car il est vrai, qu’il ne la laisse pas indifférente.
_ J’accepte volontiers, mais je suis un piètre danseur malheureusement ! _ Ce n’est pas grave, ria t’elle, tu n’auras qu’à me suivre ! »
Une fois sur la piste de danse, tout le monde les regarda, car Ozalee dansait à merveille et Merwan la suivait et se laisser emmener par la musique. Le père d’Ozalee s’approcha d’Elouan. Riwan le connaît bien, ils sont amis depuis toujours, mais il est bien le seul. Grand et musclé, de longs cheveux blancs, des yeux bleus marines, Riwan est le plus ancien et le plus respectable des elfes.
« _ Bonsoir mon vieil ami, alors que pensez vous de cette quête ? _ Je pense que c’est une bonne chose, le seul espoir que j’ai, c’est que les personnes, qui seront sélectionnés, seront des jeunes. Car cela leurs permettront de faire leurs preuves et leurs donner une expérience en combats. Ca forge le caractère ! _ Je te reconnais bien là Elouan ! Mais tu as raison, ça leurs feraient du bien et parlant de jeunes… comment trouves tu le petit couple que forme nos enfants ? Je sais que ton fils n’est pas indifférent à l’égard de ma fille. _ Il n’a pas tord, cela ne me déplairait pas de l’avoir comme Belle fille, mais certains ne trouverons pas ça d’un très bon œil ! _ Je me fiche pas mal de ce que pense les gens, ma fille à le droit de choisir qui elle veut pour époux, mais c’est vrai que j’aimerai que ton fils soit mon futur gendre. Malheureusement pour moi, ma fille est un garçon manqué dans un corps de déesse. Sa mère est d’une telle grâce ! _ Tu n’as eu de chance sur ce coup là ! S’esclaffa Elouan _ Tu te moques de moi, mais tu es mené à la baguette par ta femme ! Fit remarquer Riwan _ Je ne peux rien lui refuser. «
Les musiciens avaient entamé une nouvelle musique, Ozalee et Merwan, sortirent de la piste de danse et rejoignirent Liham et Manoah. Tous les quatre se connaissent et sont restés amis, de très bons amis. Liham est un dragueur, adore taquiner son amie Ozalee en lui faisant des sous entendus, mais elle sait aussi que c’est pour faire enrager son amie Manoah. C’est à se moment qu’Attilius, se tourna vers la foule et leur demanda le silence. Tout le monde obéir et il se tourna vers les pierres du feu. Celles-ci représentent les deux feus de la création du monde, la pierre de feu de glace était de couleur bleue pâle avec une légère transparence. Celle de la lumière était d’un jaune vif avec un milieu assez compact, comme si il y avait quelque chose à l’intérieur. Elles étaient disposées dans un socle avec une couverture en velours rouge, brodé de plusieurs symboles que personnes, même les mages ne savent traduire. Attilius se tient devant et plongea sa main dans un sac en peau de daim, et en ressorti avec de la poussière d’étoile (diamant en poudre réputé pour la magie). Il en déposa sur les pierres et prononça une incantation, celles-ci se mirent à briller, tous le monde savaient qu’elles allaient désigner les personnes qui feront partit du groupe de voyageur. Personnes ne respiraient, un sentiment de peur se fit sentir autour du mage, avec l’attente insoutenable de la désignation. Même les animaux qui se trouvaient dans les alentours étaient silencieux, lorsque toute la poussière d’étoile fut déposée, un faisceau lumineux scruta la foule, les élus. Attilius fut désigné le premier, pour sa sagesse et son expérience, puis il recommença à scruter la foule, et s’arrêta :
« _ Galaad est désigné. Sa force et sa connaissance des terres seront utiles à notre mission. ! _ Je suis honoré de pouvoir venir, cette quête montrera que les nains sont aussi braves que n’importe qui.
Galaad vint se mettre à côté d’Attilius et les pierres continuèrent à chercher.
_ Merwan, ton agilité et ton don pour percevoir des choses nous aiderons beaucoup. _ Je suis fier d’avoir été nommer et honorera ce privilège. _Liham, Attilius fut un peu surpris, ton expérience au combat sera utile. _ Merci, je demande qu’à faire mes preuves. _ Ozalee, excellente au tir à l’arc et connaît le langage des animaux, cela aussi nous aiderons beaucoup. _ Je me montrerai digne de ce privilège. _ On dirait que les pierres ont choisi la dernière personne.
En effet, les pierres s’arrêtèrent sur la dernière personne désigner et leur lumière disparue aussitôt.
_ Manoah, ton courage et ton optimisme, ainsi que la connaissance des plantes et de leur langage nous est indispensable. _ Je remercie beaucoup de la confiance que vous me porter. «
Après la désignation, tout le monde retourna à la fête pour finir la nuit. Pendant le reste du temps, le petit groupe firent connaissance avec Galaad, car il est était le seul à ne pas connaître le quatuor. Lorsque l’aube pointa le bout de son nez, chaque race parti rejoindre l’habitat réservé en son nom, car le lendemain il devront faire un long chemin. | |
| | | VALASAN .:: Colonel ::.
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| Sujet: Re: les secrets de l univers Mer 22 Nov - 21:27 | |
| 2ème chapitre « Le plan »
Des yeux rouges transperçaient la brume épaisse qui enveloppé le pays Gulsul. On ne voyait pas plus loin que ses pieds, mais les gobols savaient se repérer très facilement, d’une part parce qu’ils connaissent par cœur leur territoire, mais c’est que leurs yeux ont une substance spéciale qui leur permet de déceler les formes, à travers la brume d’où la couleur rouge. Lorsqu’on arrive à pénétrer dans ce pays sans avoir rencontré un gobols, une énorme forme noire se distingue, il s’agit de la demeure du mage Enyeto. Celui-ci utilise la magie noire, de taille assez grande, un teint pâle, des yeux noirs avec une pupille rouge, lui vaut le surnom de Enyebols. Mais tous le monde se pose la question, pour connaître l’origine de ses yeux, on se demande s’il ne serait pas mi gobols mi mage, ou si c’est du à la manipulation de la magie noir ou encore si son père n’avait pas fait des expériences bizarre. Réputer pour avoir une araignée au plafond, même plusieurs. La demeure était imposante, ancré à l’intérieur d’un énorme tronc d’arbre, formant un visage hideux. Deux lampes avec un contour rouge brillaient au milieu de deux espèces de trous formant de gros yeux rouges globuleux. A l’entrée, deux trolls monstrueux montaient la garde, lorsque l’on pousse la porte on aperçois trois escaliers aussi sombre l’un que l’autre qui mènent à plusieurs étages. La première salle est un salon où Enyeto reçoit tous ceux qui viennent se rallier à lui et aux forces ténébreuses. La seconde, celle qui est, pour les gobols au service du mage, leur chambre, leur salon. Personnes ne s’y aventure car l’odeur nauséabonde qui règne, se sent dés l’entrée des escaliers. La troisième, se trouve le trône d’Enyeto, un magnifique ornements, incrustés sur les accoudoirs. Enyeto se tenait assis, droit et fier, fixant de ses yeux noirs, un gobols agenouillait à terre. De longs cheveux noirs descendaient le long de ses épaules, Enyeto était robuste comme un vieux chêne de 300 ans. Toutes les femmes savent qu’il est une très grande beauté, mais pour leur plus grand malheur, il est le aussi le plus brutale et le plus hostile. Son apprentis Elias, appartient à la race des elfes noirs, fut attiré par le pouvoir qu’exercer son maître sur les gens qui l’entourer, et décida donc un matin de quitter sa famille, ses amis, sa vie, son peuple pour devenir l’apprentis. De taille moyenne, des cheveux noirs comme ceux de sa race, ses yeux bleus commencent à se noircir et l’on aperçoit seulement la pupille d’origine et le teint pâle. Elias se tient toujours à côté ou derrière Enyeto, prêt à obéir au moindre geste ou ordre donnés par son maître. Le pauvre gobols, était au pied du trône, tête basse, les yeux verdâtres rivés au sol.
« _ Alors Hamza, qu’as-tu entendu et vu ?
La voix des gobols, est très caverneuse, puissantes et assez désagréables à entendre, ils ont tendance à rire tout le temps un peu comme des hyènes, mais le son est plutôt aigu.
_ Ils ont créé groupe voyageur, récupérer enfant, désigné par les pierres feu. _ Qui sont ses personnes ? Je veux savoir ce qu’ils ont décidé de faire. _ Ils sont six, mon seigneur. Attilius le mage, Merwan prince noir, Galaad nain, Liham humain, Manoah elfe vert, Ozalee sylvain. Ils sont simplement fait fête, rien décidé. _ En es tu sur ? _ Oui mon seigneur. »
Enyeto congédia son espion et le récompensa d’un morceau de chair, provenant d’un haykel. Sorte d’énorme limace recouverte d’épines tranchantes comme des rasoirs.
« _ Envoyer de jeunes enfants, qu’elle impertinence ! Au moins nous aurons quelques facilitées pour exécuter mon plan. _ Mon seigneur permettait une remarque ? Il ne faut pas les sous-estimer.
Elias fit une erreur, personne n’avait encore contredit Enyeto. Il le frappa au visage violemment, ce qui lui fit une petite blessure au niveau des lèvres, Elias s’essuya avec sa main. Aucun apprenti n’avait jamais osés lui faire une remarque ou seulement prétendre que le plan avait des défauts. Les gobols connaissant bien la colère de leur maître, disparurent aussi vite que possible la salle où il se trouvait.
_ ME PRENDS TU POUR UN IDIOT ! CROIS TU QUE JE SUIS ASSEZ STUPIDE POUR NE PAS M EN MEFIER ! _ Pardonnez moi, mon seigneur, je ne recommencerai pas. _ Je ne suis pas aussi vieux que tu le crois, je sais qu’il faudra s’en méfier, et surtout d’Attilus. C’est le plus vieux et le plus puissant des mages, mais pour le plan que j ai dessiné, les jeunes seront utiles.
Enyeto marcha jusqu'à une grande armoire en bois, teint en noire, il ouvrit la première porte et se servit un verre de vin.
_ Ils sont peu expérimentés, et ne sauront donc pas que nous les suivons. Ce sont eux qui Nous montrerons le chemin pour capturer l’enfant. _ Vous voulez dire que vous n’avez pas l’intention d’œuvrer par la force. _ Bien sur que non, au lieu de nous carcasser à perdre des hommes, nous allons leurs laisser tout le boulot. _ Et au dernier moment, prendre l’enfant. Ce plan est très bien conçu. »
Enyto émis un petit rire discret, à la remarque d’Elias, il savait que celle-ci était une sorte d’excuse pour le geste déplacé. Il fit appelé son plus loyal serviteur, appartenant à la race des Thijs, c’est une créature plus petite qu’un gobols, de couleur noire, des yeux jaunes de forme globuleuse, des griffes acérées à chaque extrémité des doigts. Trois doigts sur les membres antérieurs et quatre sur les postérieurs et s’équilibre avec une longue queue puissante qui se finit par des pointes. Il n’a pas de fourrure, pas de plumes, pas d’écailles mais une peau lisse, comme celle des Nawal, les baleines des eaux froides de Gwladys. Ils ne sont pas très nombreux dans le pays mais sont les plus dangereux car ils s’adaptent très vite à n’importe quel endroit. La créature s’avança silencieusement sans aucun bruit, avec légèreté, il s’inclina devant Enyeto. Ils ne parlent pas donc communique par télépathie, mais leur hurlement est assez désagréable.
°° Mon cher maître, vous m’avez fait appelé ?°° _ Oui, je n’ai vraiment confiance qu’en ceux de ta race, j’ai une mission à te confier, très importante, qui nécessite votre intelligence et votre adaptation. °° Que de compliments, elle doit vous tenir a cœur pour que vous ayez besoin de moi. °° _ Je te demande de suivre le groupe d’Attilius, et de m’informer régulièrement. Tu as le droit de prendre les armes que tu veux et de quelle manière tu vas opérer, je te laisse le choix. °° Que de bonté, j accepte avec ardeur. Puis je demander une faveur ô seigneur ?°° _ Bien sûr ! °°_ Seulement de pouvoir goûter au sang d’une elfes ?°° _ Choisit en une, et que personnes ne te vois et ne sache que tu es envoyé par moi. °°_ Bien, compter sur moi. °°
La créature s’inclina à nouveaux, se léchant les babines. Enyeto regarda tout le monde se retirer et congédia Elias, il restera donc seul, avec ses pensées et son verre de vin, à la main. Il avança vers une énorme boule de cristal noire, posait sur un pilier en pierre, lorsqu’il toucha celle-ci, elle se mit à briller.
« _ Mon pauvre Elias, ton frère et ton père ont mal choisit leur camps. Faire alliance avec les autres elfes, quelle décision stupide ! Tu a perdu un fils aîné et voilà que tu envoie ton fils cadet à l’aventure. Qui gagnera entre les frères qui sont à force égale ? »
Lorsqu’il retira sa main, la lumière disparue aussitôt et l’énorme boule repris sa couleur noire. Se sentant faible, il regagna ses quartiers. Il prit tout de même un dernier verre de vin, avant de demander à un gobols de ne pas oublier de remplir le pichet. Thijs sortie de la demeure d’Enyeto, et traversa les marais, nageant dans l’eau sale et puante. Il passa à côté d’un groupe de gobols, se disputant un morceau de viande, personnes ne remarqua sa présence. Silencieux, l’eau lissant sur sa peau, sans le moindre bruit. Il remonta la rivière jusqu’au fleuve, puis se dirigea vers la sépulture. Remontant sur la rive, il se fraya un chemin à travers la forêt dense, lorsque celui-ci se trouva derrière la statue, ses yeux jaunes scrutèrent l’endroit, où la fête avait été merveilleuse. Il s’approcha à distance respectueuse des tentes semer un peu partout, il se coucha dans le creux d’un vieil arbres et s’endormit. Mais n’aimant pas la lumière du soleil, il ne dormirait que quelques heures et se lèverait avant que celui-ci ne pointe le bout de ses rayons. | |
| | | VALASAN .:: Colonel ::.
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| Sujet: Re: les secrets de l univers Mer 22 Nov - 21:29 | |
| Chapitre 3 « en route pour l’aventure »
Le matin se leva à l’horizon, les oiseaux gazouillèrent avec un raffut à réveiller un mort. Les rayons qui percèrent l’immense forêt, réchauffèrent les diverses tentes encore endormies. Quelques elfes et humains étaient entrain de préparer le petit déjeuner, d’autres chassaient ou cueillaient des fruits. Le fleuve gorgé de poissons, était attaqué par une canne à pêche, un petit déjeuner sans poisson grillé était impensable selon Liham. Il n’avait réussi qu’à dormir quelques heures, malgré son enthousiasme, l’aventure, qui allait bientôt arriver à son point de départ, lui faisait un peu peur. Du coup, il avait pensé à ça toute la nuit, et manquait de sommeil. Mais si du poisson grillé était au menu, tout s’effacerait. Galaad préparait le feu, lui, avait dormit comme un loir, avec toute la bière qu’il avait bu pendant la fête, il s’était endormi très vite. Pour lui, le déjeuner se composait simplement d’un bon morceau de viande et de jus de pomme. Attilius, était adossé à un tronc d’arbre, lisant et relisant la carte, pour trouver le meilleur chemin possible, son repas se limiterait à quelques baies rouges et noires. Merwan grimpa en haut d’un épicéa et s’assit sur la plus grande branche, sortit de son sac, sa flûte et commença à jouer une mélodie. En dessous de celui-ci, se trouvait la tente d’Ozalee et de Manoah. Elles venaient tout juste de se réveiller, le soleil leur réchauffant le visage. Elles s’envoyèrent des sourires en signe de bonjour avec beaucoup de ma là émerger, elles se levèrent toutes les deux, s’habillèrent d’une petite robe très légère pour la nuit. Ozalee resta un instant à écouter Merwan jouer de la flûte, elle adorait l’écouté, espérant qu’il emporterait avec lui et qu’il jouerait chaque soir. Manoah le remarqua et comme elle était déjà prête à sortir, elle la laissa seule.
_ Je vais rejoindre Liham, je te laisse avec ton Prince ! _ Ce n’est pas mon Prince.
Lorsqu’elle fut seule, elle leva les yeux au plafond de la tente, et distingua la silhouette de Merwan, assit sur sa branche. Elle repensa à la conversation qu’elle avait eu avec Manoah au sujet de cet homme et c’est vrai qu’il était plutôt beau gosse, mais ce qu’elle aimait le plus chez lui, c’était on naturel. Il n’était pas comme les autres garçons, il ne faisait pas d’allusion sur ces sentiments, car il était assez timide, et ne la jamais regarder comme un morceau de viande qu’on choisit sur un plateau. Elle se réveilla tout d’un coup, Merwan avait arrêté de jouer.
_Pourquoi t’es tu arrêté de jouer, c’était telment beau ! _ J’ai vu Manoah sortir, j’ai pensé que vous je vous avais réveillés. _ Nous l’étions déjà depuis un moment, mais on avait seulement du mal à émerger, enfin moi surtout car Manoah avait hâte de rejoindre Liham. _ J’avais remarqué, elle est au fleuve avec lui ! As-tu bien dormi ? _ Très bien merci, peux tu continuer à jouer pour moi ? _ Avec plaisirs, mais que veux tu que je joue ? Son regard fixait à la tente. _ Ce que tu veux, tu joues telment bien !
Merwan se remit a jouer, pendant qu’Ozalee s’habillait. Au bout de quelques minutes, elle sortit et regarda en direction du fleuve, Manoah et Liham s’amusaient bien. Liham était derrière elle, les bras autour de sa taille, la tête posé sur son épaule en lui expliquant la meilleure façon de pêcher. Malgré la peau verte de celle-ci on pouvait remarquer qu’elle rougisait un petit peu lorsqu’il laissa ses mains glissaient le long des bras pour rejoindre ses mains sur la canne à pêche. Ozalee grimpa à l’arbre et s’assit sur la branche qui se trouvait à côté de Merwan. Il arrêta de jouer et plongea son regard dans ses yeux, il pourrait tuer rien que pour le plaisir de plonger ses yeux bordeaux dans ses magnifiques yeux bleu lumière. Son cœur battait la chamade, rien qu’à la pensée d’un baiser sur la joue ou de lui prendre la main, même lorsqu’il était petit, il ne pouvait s’empêcher d’avoir des bouffés de chaleurs ou le cœur qui s’accélérait juste par la prononciation de son prénom. Depuis il avait grandit et était passé maître dans l’art de cacher ses sentiments, mais les sensations qu’il éprouvait été toujours intactes. Ozalee, quand à elle, ne savait pas très bien, ce qu’elle ressentait pour lui. Etais ce de l’amitié ou de l’amour, les sensations qu’elle avait, étaient bizarre, un coup elle pouvait avoir très chaud en étant à ses côtés, et de l’autre, avoir froid comme si son absence lui ôtait la vie.
_Eh oh les tourtereaux ! Vous venez prendre le petit déj’ ! Liham était apparu sous l’arbre, le sourire aux lèvres, même jusqu’aux oreilles.
_ On arrive ! Répondit Ozalee, elle jeta un regard de mécontentements, mais celui-ci rigola de malice. _ Manoah est entrain de nous réserver une table, je vais la rejoindre, dépêchez vous !
Merwan sauta à terre, et aida Ozalee à descendre. Au moment où il posa ses mains sur sa taille, elle frissonna et son cœur s’emballa à tout allure, elle eut soudain très chaud, et le rouge montait au visage. C’est à se moment là qu’elle comprit que cet homme était bien plus qu’un ami à ses yeux. Elle embrassa sur la joue pour le remercier.
_Merci, pour ton aide ! Pourrais tu m’apprendre à jouer de la flûte ? _ Avec plaisirs, mais à une seule condition c’est que tu m’apprennes à jouer de la harpe ! Il lui sourit. Et puis j’ai une dette envers toi.
Ozalee se retourna et lui faisant face, le regarda déçus.
_Une dette ? Tu n’as aucune dette envers moi. _ Si, tu es la seule à me considérer comme un ami, et si tu n’étais pas là je serai surment partit avec mon frère, grâce à toi je ne suis pas devenu comme lui.
Il lui deposa un baiser sur la joue, elle lui sourit et fut un peu honteuse de la réaction qu’elle avait eu. Elle se demanda à cet instant si il serait possible qu’il ressent la même chose qu’elle, ils se dirigèrent tous les deux vers le petit déjeuner où Manoah et Liham les attendaient. Cela faisait déjà plusieurs heures qu’ils avaient finit de manger et l’heure du départ était arrivée. Plusieurs personnes s’affairaient à charger les mules de nourritures, de couvertures, d’eau, de sac médicinales, même s’ils trouveront tous ceux qu’il leur faudrait dans la nature, avoir des médicaments à porter de mains est toujours utiles. Liham, Galaad, et Attilius montaient à cheval, Manoah quand à elle, montait sur une créature ressemblant à un gros panda mais mesurant plus d’1m80. Donc à côté des majestueux dragons d’Ozalee et de Merwan, les autres se sentaient un petit peu désarmé. C’est vrai qu’avec leur magnifique harnachement en cuir marron foncé, avec des cercles d’or pur faisant le tour des selles, les chevaux et les pandas avaient l’air ridicule.
Attilius regardait la carte pour la centième fois pour décider du chemin à prendre, il avait l’air sérieux, trop sérieux selon Liham. Il décida de prendre la route, allant en premier chez la prétresse Farah, elle vit dans les montagnes d’Hersilie, dans une immense grotte, avec des chauves souris au plafond. Puis ils traverseront les plaines d’Ituwanku en longeant le fleuve Yuna, et se dirigeront vers le pays de Gwaladys pour enfin se retrouver dans les montagnes d’Akram. Le problème qui va se poser après c’est de retrouver l’enfant céleste, dans ces infinis montagnes, il y a plusieurs grottes formant un écœurant labyrinthe truffé de pièges. La prêtresse Farah, les accompagnait pendant la première partie du voyage au moins jusqu’à chez elle, chevauchant un gigantesque animal volant. Il ressemble à une chauve souris, mais son corps, avait des jambes et des bras puissant, des ailes noires majestueuses, fines et légères avec une main à chaque extrémité des ailes. Il peut se tenir sur ces deux pattes arrière, mais il est plus à l’aise à quatre pattes et surtout beaucoup plus rapide. Pour arriver chez la prêtresse Farah, ils devront marcher pendant trois heures le long du fleuve pour passer le bac Tala, rejoindre le village du clan McSwann où ils passeront la nuit. Le lendemain, ils arriveraient aux montagnes d’Hersilie et seraient guidés par Farah. Attilius se leva, pour être debout sur ces étriers et annonçait le départ.
_Nous allons partir, vers les montagnes d’Hersilie où réside la prêtresse Farah. Nous resterons cette nuit, dans le village Konogan, appartenant au clan McSwann et nous dirigerons ensuite vers Hersilie.
_Il nous faudra trois bonnes heures avant d’arriver à Konogan et passer le bac Tala, Attilius, il est temps d’y aller, le fleuve n’est pas prudent la nuit !
La prêtresse Farah, avait une voix douce, mais ferme, sa carrure montrait de l’expérience, mais aussi de la sagesse. Elle avait le même taille qu’Attilius, mince, de longs cheveux bruns coiffaient en demi-queue de cheval, tenue par une magnifique barrette en forme de lune avec des filaments d’étoiles. Un teint pâle, des yeux noirs d’une profondeur troublante, des canines d’une blancheur éclatante. Cela ne se voyait pas, mais elle possède des ailes, cachaient à l’intérieur de son dos, elle peut les sortir, sans douleur, et à volonter.
_Vous avez raison Farah, EN ROUTE !
La troupe partie, accompagné par le son des flûtes, des guitares et des tambours, le long du fleuve, Merwan et Ozalee, étaient dans les cieux avec leurs dragons. Normalement, avec la puissance des dragons, en à peine une heure de vole, ils seraient arrivés à Konogan. Ils avaient donc décidé de marcher à côtés des chevaux, du panda et la créature de Farah, appartenant à la race des garoas. Le bac de Tala, avait été construis à la même époque, que l’homme venue du ciel. Comme ça, il pouvait faire la navette entre les villages humains et les villages elfiques dans la forêt d’Achak. C’est un immense pont en bois, assez grand pour avoir deux sens de circulation, du lierre c’était installé sur les poutres ainsi que sur les bords du pont. Deux grosses statues de pierre, à la forme de gros poisson carnivore, peint de plusieurs couleurs, la peinture s’écaillait un peu mais n’a pas perdu son éclat. Tous les dix ans, certaines personnes se regroupent pour retaper la peinture et redonner une autre vie aux statues. Au bout de deux heures de marche, sans un seul arrêt, ils atteignirent enfin le bac, les dragons étant plus lourd, passèrent celui-ci en volant au dessus. Le reste du groupe les rejoignirent à pied tenant leur monture, sauf farah, son garoas se mit sur ses pattes arrière et passa le bac. Il leur fallait encore une heure pour atteindre le village, fallait il encore que des chambres soient libres dans une des auberges.
_ Eh j’ai une idée, pour qu’on soit sur d’avoir des chambres ! Enfin si cela ne dérange pas deux personnes en particulier ! Liham ricana en regardant Merwan et Ozalee. _ Nous t’écoutons ! Répondit calmement Galaad _ OK ! Merwan et Ozalee peuvent voler avec Féréol et Tyméo jusqu’au village, nous louer des chambres avant que l’on arrive et qu’il n’y ait plus de lit !? _ C’est une bonne idée Liham, avec leurs dragon, ils y seront en dix minutes voir un quart d’heure ! S’exclama Manoah sourire aux lèvres. _Ils n’ont pas tord. Attilius, cela serait plus prudent ! Insista Farah _ Nous acceptons, et pour une fois Liham, s’est servie de son cerveau avec intelligence ! _ Merci Ozalee de ce compliment, il me va droit au cœur. S’amusa Liham.
Liham faisait la tête, comme un enfant de cinq ans à qui on n’aurait pas cédé aux caprices. Ozalee, rigola car elle avait réussit à le faire bouder. Les dragons furent heureux de pouvoir déployer leurs ailes ankylosées dû au deux heures de marche. Ils s’envolèrent dans les cieux dans un bruit assourdissant, familier, aux voiles des bateaux gonflaient par le vent. Durant le vol, ils restèrent silencieux, c’est seulement une fois arrivé au village, qu’ils se parlèrent. L’entrée du village était une énorme porte en fer avec une large tête de nawal au milieu. Des remparts en bois mesurant plus de deux mètres, faisait le tours du village, ceux-ci sont là pour protéger la ville d’éventuels attaques d’Haykel ou des Tijs, mais aussi d’autres villages. Au milieu se trouvait la maison du chef, autour les demeures des villageois avec des commerces tous les cinq foyers. Heureusement pour eux la première auberge avait encore trois chambres de libres, ils réservèrent donc celles-ci et amenèrent leurs dragons dans une écurie spécialisée dans les créatures magiques. Celle-ci se trouvait à l’autre bout su village du côté Ouest alors que l’auberge était du côté Est, environ une demi heure de marche, car il faut savoir que Konogan est la plus grande ville humaine jamais construite.
Ozalee avait du mal à se concentrer sur le pansage de Tyméo, elle avait son esprit complètement ailleurs, Liham lui paierait chère, il aurait pu se taire cet imbécile. Merwan, était dans le même état que son amie, impossible de se concentrer sans que son regard se pose sur la femme qui l’aime. A ce moment un homme de petite taille, rondouillard, grosse moustache et voix assez roc arriva dans les boxes.
_ Vous devriez rejoindre votre auberge, il fait déjà nuit et les rues de se côté de la ville sont malfamées ! _Merci encore pour avoir garder des places pour deux autres créatures ! _ C’est tout naturel ma p’tite dame.
Ils sortirent de la grange et commencèrent à marcher vers l’auberge, les autres devaient déjà être arrivés et les deux créatures amenés ici. Les rues étaient sombres, sales et infestés par de la vermines, heureusement que Merwan, avait pensé à amener une torche, ils s’étaient rapprochés l’un vers l’autre et il passa son bras autour de la taille de celle-ci. Son cœur démarra au quart de tour, trente minutes de marche avec l’homme de sa vie, quel bonheur, collait contre son corps, que demandait de plus. Elle remercia la déesse Hestia que ses rues soit si sombres, pour cacher ses joues rougit par amour, le contact de ses doigts, sur sa taille la faisait frissonner, elle pouvait sentir le corps musclé bougeait contre le sien, ainsi que les battements rapides de son cœur. D’ailleurs, il battait drôlement vite pour quelqu’un qui marchait normalement, c’est à ce moment qu’elle commençait à se poser des questions. Ils étaient arrivés à l’auberge et reconnaissant Liham à quatre pattes, déduisaient qu’il avait du jouer avec Galaad à celui, qui buvaient le plus, bien evidemment c’est le nains qui avait gagné, personne ne peut battre un nain à ce jeu là. Liham se tenait au dessus d’un saut, vomissant tout ce qu’il avait pu manger et boire ;
_Alors, tu as encore perdu face à Galaad, cela ne t’as pas suffit hier soir !? _ Tais toi Merwan toi tu ne bois même pas ! _ Quand je te vois, ça m’empêche de boire, un vrai anti boisson ! Rigola Merwan _T’es pas marrant ! Répliqua Liham en vomissant _Je suis d’accord avec lui, tu ne devrais pas boire autant ! Se vengea Ozalee, elle rigola avec plaisir à la vue de son ami mal en point. _ Foutez moi la paix tous les deux ! _ Oh vous êtes la ! S’exclama Manoah qui venait d’arriver. Attilius a commandé un repas enfin si MONSIEUR va mieux ! _ OH CA VA !
Ils laissèrent le couple dehors et rejoignirent les autres, pour manger quelques choses. Attilius, les accueillit.
_ Nous avons partagés les chambres, je vous ai mis toutes les trois ensembles, Merwan et Liham seront ensemble, Galaad sera avec moi, il ne supporte pas trop l’humour de votre amie. _ Il a pas tord ! Ricana Merwan | |
| | | VALASAN .:: Colonel ::.
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| Sujet: Re: les secrets de l univers Mer 22 Nov - 21:30 | |
| Après le repas, tout le monde se coucha, il était déjà assez tard et le lendemain, ils devaient partir pour la demeure de Farah. La chambre des filles se composait de deux lits, un grand à deux places et un petit sur le côté gauche, deux grandes fenêtres donnaient sur la rue, des rideaux pourpres à chacune d’entre elles. Le lustre de couloir noir s’harmonisait parfaitement avec la couleur rouge, orangé des murs et des couvres lits. Celles des garçons, plus tournée sur les bleus et verts, thème de la mer et de l’océan, par contre il n’y avait que des lits simples, un lustre en forme de poisson, les couvres lits épais ne s’harmonisait pas du tout avec le reste de la pièce. C’est vrai que le jaune vif version canari, n’était pas très joli en comparaison des magnifiques bleus et verts de la chambre. Les filles dirent bonsoir aux garçons, bien évidemment Manoah et Liham s’attardèrent un petit peu dans le couloir. Merwan était déjà dans la chambre, Attilius et Galaad firent de même, ainsi qu’Ozalee et Farah, au moins Merwan aura la paix pendant quelques instants. Dans le couloir, Liham tenait Manoah contre le mur, une main lui caressant le dos et l’autre sur ses hanches fines, elle avait les siens plaqués au mur, et les yeux clos s’abandonnant aux caresses de son partenaire. Il commença par l’embrasser dans le cou, elle se colla un peu plus contre son corps musclés, qu’elle avait déjà apprécié ce matin. Elle frissonna au contact de sa main qu’il avait placé dans un endroit où il pouvait sentir sa peau douce et fine. Elle posa ses mains sur la chemise blanche et lui caressa le torse, il déposa son regard dans ses yeux bleus et approcha ses lèvres des siennes, déposant un doux baiser. Manoah lui répondit en l’embrassant à son tour. Quelqu’un monta les escaliers, et ils se séparèrent en s’échangeant un dernier regard avant de rentrer chacun dans leur chambre respectives. Lorsque Manoah entra, Ozalee s’était déjà endormi, et Farah lisait un livre.
_Vous avez l’air de bien vous entendre Liham et toi ? Cela fait longtemps que vous êtes un couple. _ Depuis quelques mois déjà, mais les seules à être au courant se sont Merwan et Ozalee ! Comment … _ Ce n’est pas parce que je suis une prêtresse que je ne connais pas l’amour. _Pardonnez moi, mais mon père ne voudra jamais qu’on reste ensemble c’est un humain, et puis on a jamais vu un elfe avec un humain. _Il ne faut pas penser à ça, vivait les moments au jour le jour ! Cela peut changer, l’avenir est un chemin plein de mystère, on ne sait pas ce qu’il nous réserve ! N’y pense pas, maintenant il faut dormir. _ Oui, merci bonne nuit. _ Bonne nuit Manoah. | |
| | | VALASAN .:: Colonel ::.
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| Sujet: Re: les secrets de l univers Mer 22 Nov - 21:31 | |
| Chapitre 4 « les montagnes d’Hersilie »
Le réveil se fit sous une pluie battante, le ciel menaçait d’éclater à tous moments, d’énormes nuages noirs arrivaient vers le village et annonçaient une violente tempête. La demeure de Farah se trouve au centre des montagnes d’Hersilie, le problème c’est que si la tempête éclate, pour traverser, il faudra se battre avec la colère du fleuve et des cascades qui sont nombreuses et qui peuvent déborder. Il ne restait qu’une heure de marche, mais la pluie empêchait les dragons et le garoas de pouvoir voler dans les airs. Dehors les routes étaient boueuses, un étrange animal, fouillait dans les poubelles, l’eau qui tombait de la gouttière cassée, glissait sur sa peau comme sur une vitre. Une porte s’ouvrit, et en rien de temps, se cacha derrière des tonneaux et observa. Le groupe de personne était mené par un vieux bonhomme au chapeau pointu, il arrêta son regard sur les dragons. Il émit un sont ressemblant à un grognement mais si faible que même un chien ne l aurait pas remarqué. Les thijs ne supportent pas du tout les créatures de feu, car avec leur souffle, elles peuvent assécher la peau lisse et surtout, les dragons adorent ces créatures à l a viande si tendre et moelleuse, un met des plus délicat pour ses grands carnivores. Féréol renifla l’air en direction de la créature, c’est vrai qu’ils ont une odeur assez spécial du au marais.
_ Qui a-t-il Féréol ?
Merwan caressa son ami sous la gorge, un peu comme un chat, il monta en selle et attacha son capuchon. Attilius avait décidé de continuer malgré la pluie et le vent. Ils allaient avancer tout doucement, mais il ne pensait qu’à son adversaire, Enyeto, il n’avait pas essayé, la moindre attaque contre eux, ce qui avait le but d’inquiéter le mage, sérieusement, on ne sait jamais à quel moment il va frapper. Pour arriver au pied des montagnes, il fallait traverser des plaines et des champs agricoles, les fermiers avaient accepté de laisser passer le groupe dans leurs champs, première bonne chose de la journée. Après plus d’une demi heure de marche sous une pluie diluvienne, celle-ci s’arrêta net comme si on avait fermé un robinet. Ils s’étaient tous arrêtés sous un énorme arbre, les dragons se secouèrent et retirèrent toute l’eau restée sur leurs ailes. Liham alluma un feu pour réchauffer leurs vêtements mouillés, et donna un pull chaud à Manoah en la gardant dans ses bras. Attilius s’assit prés du feu auprès de Farah qui feuillait ses grimoires, Merwan s’approcha d’Ozalee et lui prêta une deuxième cape de pluie sèche et plus chaude que la sienne. Elle sursauta au moment où il lui déposa sur les épaules.
_ Je t’ai fais peur pardon ! _Ce n’est rien, j ai juste été surprise merci pour la cape. _De rien, elle te tiendra chaud comme ça. _Et toi ? S’inquiéta t elle _Ne t’inquiète pas, j’ai ce qu’il faut ! _ Cela ne te dérange pas si on partage ? demanda t elle timidement _ Non ! Souri t il Elle se logea dans ses bras, et posa sa tête sur son torse, elle était telment fatiguée qu’elle s’endormit, Merwan pouvait sentir l’odeur de muguet de ses cheveux, la chaleur que dégageait son corps contre le sien, la respiration calme et régulière de son amie. Il pensa alors, que lorsqu’ils seraient seuls, il se fit la promesse de lui avouer son amour et de demander sa main. Mais cela va être dur de se retrouver seul, car chez Farah, il y a beaucoup de sujets mais surtout de chauve souris pendu au mur des grottes. Donc on peut dire que les murs ont des oreilles et des yeux aussi un peu partout. Mais en la regardant ainsi, il se fit la promesse de lui révéler ses sentiments, une fois arrivé chez la prêtresse. Apres s’être bien reposé et séché ils reprirent la route et arrivèrent enfin au pied des montagnes d’Hersilie, il fallait encore grimper un étonnant et long escalier assez large pour laisser passer des animaux, heureusement pour eux, il ne fallait que dix minutes à cheval pour arriver à la porte d’entrée. Celle-ci était taillée dans la pierre qui formait un demi cercle fendu au milieu. Des chauves souris et des garoas étaient gravés sur chacune des portes avec des ornements elfiques. Farah fit préparer des chambres et un grand buffet, la nourriture de l auberge étant un peu infecte, de grands plats de viandes accompagnées de légumes, de différentes pommes de terres et de somptueux desserts. Les chambres étaient parsemées de voiles, de tapis de coussins de différentes tailles, les plus gros étaient rassemblés en un seul endroit pour former un confortable lit. Une épaisse couverture de velours servait de couvre lit, une moustiquaire était suspendu au plafond prolongé de voiles formait une arche protectrice autour de la couche. Des lanternes rondes trouées donnaient une ambiance tamisée.
Pendant le repas, des musiciens avaient pris place sur la gauche de la caverne et entamaient une chanson. Les sujets de Farah ressemblaient à des abeilles dans une ruche, changer les plats, en ramenant d’autres sur la table. Remettre de l’eau dans les cruches ainsi que du nectar d’elfes et du vin humain. Après la fête tout le monde se rendit dans le grand salon où on pouvait se détendre, c’est à ce moment là que Merwan prit son courage à deux mains et s’approcha d’Ozalee, il lui murmura à l’oreille.
_ Peux tu venir faire un tour ? Enfin si cela ne te dérange pas ? Il avait dit cela avec un air assez sérieux. _ Oui avec plaisir mais tu as l’air bizarre, ça va ? _Ne t’inquiète pas vient !
Ils s’en allèrent tous les deux vers un chemin de promenade battit tout autour de la demeure, des rosiers rouges, jaunes et blancs servaient de toit, et donnèrent une ambiance romantique. Merwan marcha lentement, les yeux rivaient sur ces pieds son cœur battait à cent à l’heure et ne savait pas par où commencer.
_Merwan est ce que ça va ? Tu as l’air bizarre ! Elle s’arrêta, vraiment inquiète. Tu me fais peur. _Tu n’as pas à avoir peur, je te rassure, c’est seulement moi … Je ne sais pas par où commencer.
Ozalee le regarda, il paraissait à la fois paniqué et déterminé, elle pensa à quelque chose à ce moment, hier soir lorsqu’ils étaient dans les rues sombres, elle avait sentit les battements de son cœur s’accélérait. Merwan se tourna face à elle, il ne put ni bouger, ni respirer, son cœur tambouriner dans sa poitrine comme si celle-ci s’ouvrait pour laisser celui-ci battre. Ses yeux étaient restés ouvert grand ouvert fixait dans le vide, son cerveau ne réagissait plus, il était complètement perdu.
_Alors on se la fait cette promenade ! s’écria t elle en s’éloignant.
Comment pouvais t elle partir maintenant après ce qu’elle avait fait ! Il n’avait pas eu le temps de dire un seul mot même pas un souffle, elle faisait comme si tout ça était naturel, comme si ils avaient l’habitude ! Il couru pour la rejoindre, restant tous les deux silencieux, avait elle eu raison de le faire ? Peut être était ce un peu tôt pour lui. Elle n’osa pas le regarder dans les yeux mais après ce qu’elle avait oser faire, il vaudrait mieux parler. Elle s’arrêta sur un balcon et s’assit sur l’un des bancs. Merwan la rejoignit et s’assit à côté d’elle. Le silence était insoutenable, presque irrespirable, mais il fut le premier à faire quelque chose, il lui prit la main et la caressa de son pouce, mais aucun des deux ne parla. Ozalee se rapprocha, et passa le bras de son ami sur ces épaules. Ils restèrent là sur ce banc pendant des heures, profitant l’un de l’autre, même si ils ne dirent aucun mot, seul le contact qu’ils avaient réussi à engendrer leur suffisait. Lorsqu’ils se levèrent, la lune était déjà bien haute, même la plus petite était à son sommet, ce qui voulait dire qu’il était déjà très tard et qu’il était temps d’aller se coucher. Le lendemain ils devaient partir pour rejoindre l’île Pongwa, car au moins là bas, ils pourront dormir en sécurité il n’y a seulement que des végétaux, des insectes et des oiseaux de toutes races qui viennent en ce lieu pour s’y reposer et pour certain le moyen de couver leur œufs tranquillement sans qu’on vienne les leurs voler. Le plus dur, sera de passer, la moitié de la plaine d’Ituwanku. Il n’y a vraiment rien sur ce territoire, très peu d’eau à par le fleuve, mais étant au milieu, il ne peut irriguer tout le domaine. Seule la végétation se trouvant à proximité du fleuve et des bras de celui-ci arrivent à résister, et bien sur l’île de Pongwa car celle-ci se trouve au milieu de deux bras. L’unique animal qui a sut survivre est le Kolas sorte de bisons mais possédant trois cornes, il est très sociable mais aussi très dangereux. Le reste du domaine, ne possède que des buissons épineux ou de la mauvaise herbes n’ayant pas besoin de beaucoup d’eau.
Dans leur chambre, Manoah et Ozalee discutaient, mais celle-ci ne lui parla pas de ce qui s’était passé pendant la ballade. Elle préféra le garder secret, il n’avait pas réagit, comme elle le voudrait, mais il était resté avec elle et n’avait pas essayer de s’enfuir. Ozalee ria, car son amie était complètement folle amoureuse de Liham, cela la rendait rayonnante de bonheur. Le soleil, remplaça la pluie de la veille, de nombreuses flaques sur le chemin de promenade reflétaient la lumière de l’astre solaire et éblouissait les yeux de certains passants. Les oiseaux se baignèrent en se chamaillant la meilleure flaque. Le reste du groupe déjeunait dans le salon sauf un, Merwan, réfléchissait sur le balcon, le regard fixait au loin. La soirée d’hier devait être un jour spécial, il avait eu la décision de montrer ses sentiments à Ozalee mais elle l’avait devancé et l’avait embrassé. Il se traita d’idiot car, il n’avait pas réagit, il s’était juste assit prés d’elle mais il se jura de se rattraper. Il descendit du chemin et rejoignit le salon. Ozalee lui fit signe de la main pour lui montrer qu’elle avait gardé une place tout prés d’elle. Il s’approcha et l’embrassa sur la joue, celle-ci rougit, elle ne s’attendait pas du tout à ça, en tout cas il n’avait pas l’air fâché, il était même de bonne humeur. Il était temps de partir, les plaines d’Ituwanku étant dangereuse, il ne fallait pas tarder, comme la prêtresse Farah ne les accompagnait pas, ils auront de la magie en moins, mais elle leur donna une fiole possédant le pouvoir d’appeler de petites fées, les Cérines. Elles ont de grands pouvoirs de destruction mais aussi de guérison. Ceux-ci ressemblent à n’importe quel humain, mais vingt fois plus petites, avec des ailes et les cheveux ébouriffés. Ils reprirent de la nourriture et préparèrent les chevaux, les dragons portèrent les bidons d’eau car ils sont plus costaux. Chacun monta sur ces montures, Attilius s’approcha de Farah, et l’emmena un peu plus loin, pour être seuls.
_ Je sais que tu aurais aimer venir avec nous, mais je suis plus tranquille à te savoir ici, en sécurité. Et puis on est plus tout jeune. _ Je te fais remarquer que tu es plus vieux que moi ! _ Seulement de deux ans ma chère ! Rigola le mage. _ Tu me reviendras en forme et entier ?
Elle s’approcha de lui et se blottit dans ses bras, personnes n’est au courant mais cela fait longtemps qu’ils sont ensembles, leurs différences sont beaucoup trop voyantes pour qu’ils acceptent qu’un mage et une prêtresse de la nuit soient unis. Il la serra dans ses bras et blottit sa tête contre la sienne, pour sentir son parfum.
_Ne pense pas à ça ! Mais je ferais attention, je te le promets !
Il mit sa main, sur le ventre bien arrondit de la prêtresse, et lui déposa un baiser avant de partir rejoindre les autres. Quand à Farah, ses mains sur l’enfant à venir, regarda le groupe s’en aller vers les plus dangereux territoires. | |
| | | VALASAN .:: Colonel ::.
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| Sujet: Re: les secrets de l univers Lun 14 Mai - 13:39 | |
| Chapitre 5 " l île de Pongwa et sa magie" Au moment du départ, Farah referma son manteau, pour cacher son ventre et rejoignit la foule disant adieu aux voyageurs. Elle s'installa prés d'une des servantes, soupira et baissa les yeux au sol.
_ Je devrais les accompagner, ma magie leur serait utile ! _ Vous devez penser à l'enfant, Attilius serait d'accord avec moi, l'aventure est trop dangereuse. _ Je le sais bien ! Elle fixa notre expédition avec espoir de les revoir, Maiwen les accompagne, cela devrait me soulager, mais ... _ Ne pensez pas à ça, allez vous reposer !
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Les voyageurs, étaient très silencieux, même Liham qui pourtant est le plus bavard, gardait le silence total. Manoah, était montée avec lui sur son cheval, laissant un peu de liberté à Andrésine. Le garoas s'approcha d'Attilius, qui lui caressa le haut de la tête pour le rassurer.
_ Pourquoi la prêtresse Farah nous l'a t elle envoyé ? Demanda Galaad, il risque sa vie en venant avec nous. _ Elle l’a envoyé pour ma sécurité, et je la comprends ! _ Faut dire que vous lui avez laissé un bien précieux, qui sera dur à élever seule. _ Alors vous avez deviné!? Sourit Attilius _ Pas vraiment, je devais me soulager la vessie avant de partir et je me suis retrouvé pas loin de vous et j'ai compris lorsque vous lui avez mis votre main sur son ventre rond ! De combien si je ne suis pas trop indiscret ? _ 6 mois déjà, et malheureusement, je ne suis pas toujours là prés d'elle comme j'aurais aimé l'être. Pouvez vous garder le secret, enfin jusqu'à ce que l'aventure soit finie ! _ Il sera bien gardé !
Il inclina la tête en guise de renseignement. Il aurait donné tout ce qu'il possédait pour être à ses côtés. Au bout d'une heure, ils n'avaient toujours rien vu, pas de kolas ou de charognards, le soleil devenait de plus en plus chaud. La chaleur constante, brouillait les regards, ce qui faisait rire Liham, car il avait la même vue que lorsqu'il avait bu trop de bière. Pour rejoindre l'île de Pongwa, il fallait au minimum trois jours, donc dormir deux nuits avec le danger de se faire attaquer par n'importe quel animal. Ils avaient tous rangés leur cape et avaient revêtu des vêtements bien plus confortable et un peu moins épais. Ils firent une halte et pour faire de l'ombre, ils plantèrent des piquets mesurant un peu plus d'un mètre soixante, recouvert d'une gigantesque et épaisse couverture en peau de boeuf, offert par le peuple de Liham. Tout le monde pouvait y venir, que se soient les créatures ou les humains, les bidons d'eau étant brûlant, Attilius envoya une incantation de glace et l'eau fut aussi fraîche que celle d'une rivière. Ils positionnèrent leurs couchettes en cercle autour du feu éteint. Dans la journée, il fait très chaud, mais la nuit, la température baisse très vite, même trop vite. Elle peut atteindre au maximum les cinq degrés et dans la période la plus chaude, quarante cinq degrés. Le pauvre Galaad s'allongea sur sa couchette, étant un nain et vivant sous les mines et les montagnes, au frais, la chaleur devenait insupportable. Ozalee lui tamponna, le visage d'un linge frais, il respirait assez fort et avait du mal à rester conscient. _ Liham, appelle Attilius ! Galaad ne va pas bien du tout. _ Très bien !
Liham couru chercher le mage, qui récupérait la sève d'un cactus à fleure rouge.
_ Attilius, venez vite, Galaad ne va pas bien du tout, je m'inquiète pour lui ! _ La chaleur va bientôt baisser, nous allons lui mettre un peu d'air frais, demande à Maiwen de lui faire du vent avec ses ailes. J'arrive tout de suite. _ Merwan peux tu continuer à prendre la sève ? _ Oui bien sur !
Sous la tente, Maiwen battait des ailes faiblement, provoquant un petit vent frais, très agréable. Galaad respira un peu mieux, mais il transpirait toujours et cela ne présageait rien de bon. Manoah le faisait boire le plus d'eau possible, mais cela n'avait pas d'effets. Lorsque Attilius entra sous la tente, il avait retrouvé un teint assez mat, par rapport au teint version écrevisse de tout à l'heure, mais il n’avait toujours pas repris connaissance. Le mage l'examina et lui prépara une boisson à base de jus de cactus rouge, mélangé avec des herbes qui se trouvait être de la menthe et de l'eucalyptus. Cette potion est très délicate à préparer car il faut garder toutes les propriétés médicales des plantes, sans perdre leurs notions de fraîcheur. Pour que celle ci marche, il faut que Galaad soit conscient pour la terre, ce qui n'est pas le cas. Après plusieurs tentatives, ils purent lui faire boire cette fameuse boisson et le nain commença à se sentir mieux car il demanda une bière. Le mage sourit et reconnu le tempérament de cette race.
_ Repose toi bien mon ami, la nuit ne va tarder. _ Hum mm !
Ozalee et Manoah préparèrent le repas dehors, sur une énorme pierre plate, étant donné que le soleil chauffe toute la journée, il n'y a pas besoin d'allumer un feu. Il suffisait simplement de poser la nourriture sur celle ci pour la faire cuire. Attilius resta prés du nain, tandis que les deux garçons s'occupèrent des animaux. La nuit était tombée depuis une heure, Galaad marchait en se délectant de la fraîcheur et en fumant une pipe. Tout le monde était autour du feu mangeant un délicieux morceau de viande de nawal avec une sauce aux champignons. Liham avait réussi à ramener du fromage qu'il avait chipé dans les cuisines de Farah.
_ Tu aurais pu demander l'autorisation, au lieu de le voler dans les cuisines, Farah vous en aurez offert plusieurs ? Grommela Attilius. _ Veuillez me pardonner mage Attilius, je me ferais pardonner c’est promis. _ Je l'espère bien, car je n'apprécie vraiment pas cette attitude. Farah nous a gentiment offert sa demeure et son accueil fut très chaleureux, et ce genre d'attitude n'est pas une spécialité du clan Mcachak. _ Je vous ai dit que j'irai me faire pardonner, c'est promis ! Mais en attendant, qui veut un morceau de fromage ? _ On va pas le laisser là de toute façon, avec un bon morceau de pain ça fera l'affaire !
Galaad avait dit ça avec un regard signifiant la faim, coupa un énorme morceau dans un pain blanc et étala le fromage. Sa barbe fut parsemée de miettes de son sandwich ce qui fit rire tout le monde. Chacun prit un tour de garde, Galaad prit le premier, pour profiter de la fraîcheur. Cette première nuit, passée dans les plaines d'Ituwanku, ne fut en aucun cas dérangée par une quelconque créature, à part peut être les ronflements du nain au petit matin. Pendant celle ci, Merwan et Liham ont préparé une surprise pour leur ami, une sorte de petite hutte, ou plutôt une boule faite avec des branches souples, de la corde et un morceau de la toile. A l'intérieur, il faisait bon, ni trop chaud, ni trop pesant. Lorsque celle ci fut finie, ils la montèrent sur le dos de Tyméo, le plus fort des deux dragons. Ozalee montera Féréol avec Merwan. Les filles, avaient préparé une petite fiole qui diffusait un parfum frais, fabriqué avec le reste de la potion de la veille. Galaad fut touché par ce cadeau, et remercia tout le monde, on l'aida à grimper sur son cadeau et le groupe d'ami repartit.
_ Avez vous vu la merveilleuse idée de nos jeunes amis, Attilius je ne risque plus de vous retarder maintenant ! Galaad avait les larmes aux yeux en disant cela. _ Oui je l'ai vu, mais vous savez bien, que nous ne vous laisserons jamais en arrière, surtout Liham, il vous estime beaucoup. _ Je l'aime bien, mais il n'a peur de rien, il faudrait qu'il grandisse en maturité. Est ce si dur pour la race humaine, de grandir ? _ Ils ne vivent pas aussi longtemps que nous, malheureusement !
Attilius soupira, en regardant Liham et Manoah. Il pensa alors à Farah, elle lui manquait terriblement, le seul souhait qu'il voulait c'était d'être avec elle.
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La chaleur augmenta au fur et à mesure que les heures passèrent, le Thijs les suivait toujours avec une distance appropriée pour ne pour ne pas se faire remarquer par Féréol et Tyméo. Etant une créature démoniaque, le soleil n'était pas dangereux, seule la nuit pouvait le mettre en stase d'hibernation. Pour éviter cela, il se creusa un terrier sous la terre, restée chaude, mais dans la journée il reprenait des forces, la chaleur lui procura l'énergie nécessaire à sa survit. Pour se nourrir , il chassa quelques scorpions qu'il avala en entier, le poison ne lui faisant aucun effet, mais s'accumulant dans ses griffes, ce qui lui procura une arme fatale, venimeuse et dangereuse. Thijs repensa à la faveur, acceptée par Enyeto, il s'en lécha les babines en fixant les deux elfes. Il devra être prudent, car il y a toujours une personne réveillée pour garder le camp. Mais cela ne le décourageait pas, il attendra le moment approprié, pour enfin se régaler et assouvir sa soif. Soudainement, un bruit derrière lui, le fit se retrouver. Scrutant l'horizon, il aperçut une silhouette familière, hideuse et sale, un gobols pensa-t- il, il n 'y a que ces viles créatures qui font autant de bruit.
_ Vile créature démoniaque, dénuée d'intelligence, que fais tu ici ? _ Je viens prendre ton rapport pour le Seigneur Enyeto, il s'impatiente. _ Dis lui seulement qu'ils ont atteint les plaines d'Ituwanku et qu'ils avancent vite. Et la prochaine fois, fais moins de bruits, tu es facilement repérable. _ Méfie toi des dragons, au lieu de me dire quoi faire : Mon seigneur veut que tu les ralentisse et te demande aussi de leur faire passer un message. _ Quel est il ? _ Notre seigneur, est allés chercher la prêtresse Farah, elle nous rejoindra au moment voulu. _ Très bien.
Le gobols s'en alla, et le Thijs se concentra sur le groupe de voyageur. Le moment d'assouvir sa soif était arrivé, mais il craignait les dragons, même pour délivrer un message. De toute façon, il agira ce soir car ils ne doivent pas atteindre l'île de Pongwa avant qu'il n'ait pu mordre ou griffer une des elfes. Mais une question se posait, laquelle des deux choisir ? Toutes les deux étaient trés appétissantes, mais il pencha pour l'elfe vert, car cela faisait une bonne centaine d'années qu'il n'avait pas goûter à un sang de cette race. Il attendit que le groupe fasse une pause, puisque la nuit l'empêcher d'agir. Il devait s'être dans un bon jour, car ils firent une pause pour reposer les chevaux et les autres créatures. Thijs se rapprocha tout doucement, son corps glissait sur la terre chaude et brûlante sans le moindre bruit. Sa respiration se fit lente et silencieuse, se rapprochant de plus en plus de sa victime. Il pouvait sentir l'odeur de fleur sur cette peau trés appétissantes. Il regarda en direction de Féréol et Tyméo, surtout ne pas se faire remarquer, si il veut réussir sa mission. Il resta derrière un énorme rocher, se couchant au sol, Manoah s'assit justement prés de lui, comme si le destin avait choisit, lui même, qu'elle serai la victime. Il aurait voulu la mordre, mais le rocher ne lui procurait pas l'angle pour cela, il ne pouvait seulement que la griffer au bras, mais il s'en contentera. Ses griffes acérées n'avaient pas autant de poison que dans ces canines, une morsure est beaucoup plus dangereuse car le venin est directement transmis dans le sang, alors qu'une griffure met un peu plus longtemps à s'insinuer dans les globules rouges mais on n'en meurt pas. Son coeur s'accéléra lorsqu'il s'approcha pour lui griffer le bras. | |
| | | VALASAN .:: Colonel ::.
Nombre de messages : 324 Age : 41 Localisation : eure Date d'inscription : 06/11/2006
| Sujet: Re: les secrets de l univers Lun 14 Mai - 13:40 | |
| _ Ai ! Manoah hurla de douleur _ Manoah qu'est ce qu'il y a, tu t'es fait mal ? S'inquiéta Liham. _ Ce n'est rien, je me suis fait griffer par une créature ! _ Attend, il n'y a pas de créature, à part les kolas et les scorpions. Liham se retourna inquiet. Attilius ! _ Que se passe t il ?! _ Manoah vient de se faire griffer et dans les plaines d'Ituwanku il n'existe pas de créatures munit de griffes. _ Tu as raison Liham, il s'agit d'un Thijs, Je me demandais à quel moment Enyeto, allait agir ! Je crois qu'il vient de le faire. _ Attilius ma blessure me brûle et me démange !
Manoah commençait à avoir trés chaud, Liham la porta et l'installa sur sa couche. Attilius prépara une crème pour réduire la pénétration du venin, mais ce n'était pas l'antidote, il fallait récupérer une fleur que l'on trouve seulement sur l'île de Pongwa, elle ne pousse que trés rarement, elle fait partie de la catégorie des klaodina. Cette catégorie de fleurs est trés appréciés pour ses propriétés d'anti-poison, grâce à son pollen. La pauvre elfe, se plia de douleur, elle avait du mal à respirer et sa fièvre augmenta rapidement. Liham resta à son chevet, mort d'inquiétude à l'idée de la perdre. Galaad laissa la boule pour le couple afin de pouvoir aller le plus vite possible à l'île Pongwa, celle ci se trouvant à quelques heures de marche, en vole de dragons, ils y seront en quelques minutes.
_ Merwan, Galaad je vous confie la tâche de nous rejoindre sur l'île ? J'irai plus vite seul avec Tyméo, fa$ite attention au Thijs, il peut revenir à tout moment. _ Ne vous inquiétez pas Attilius, penser à Manoah ! On se débrouillera. Répondit Merwan. _ Je vous laisse la potion pour Galaad, faîte attention a lui, la journée risque d'être un peu plus chaude qu'hier. _ Très bien !
Attilius monta sur le dos de Tyméo, Liham et Manoah s'installèrent dans la boule, enfin c'est plutôt lui qui l'installa. Tyméo décolla et vola comme une flèche, en direction de l'île, pendant ce temps là, Merwan et Ozalee rangèrent le camp avant de partir à leur tour. Ozalee monta sur Andrésine, le panda de Manoah, Galaad avait fabriqué un petit toit au dessus de la selle de Brieuc son poney, comme cela il pouvait se protéger de la chaleur et du soleil. Quant à Merwan, il monta su Féréol, et prit la tête du groupe. Malheureusement, il faudra un peu plus de cinq heures, avant d'être arriver sur l'île et ils ne pouvaient pas prendre le temps, car le Thijs pouvait attaquer à n'importe quel moment. Celui ci avait pris de l'avance et avait rejoint Attilius sur l'île.
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Grâce à Tyméo, ils étaient arrivés à peine en trente minutes, le mage finissait de préparer la potion et la fit boire à Manoah, Liham tenait la main de son amie, et ne la quitter pas du regard.
_ Nous sommes arrivés à temps, elle va avoir besoin de repos, mais elle ira mieux. _ Merci Attilius ! _ Prends soin d'elle, je vais guetter l'arriver de nos amis.
Le mage, alla s'asseoir sous un magnifique saule pleureur, il sortit sa pipe et l'alluma pour humer la fumer qui le détendait. Il fut troublé par l'apparition du Thijs, mais ce lieu était un sanctuaire donc il ne pouvait pas attaquer.
_ Que veux tu ? Ici tu ne peux pas attaquer qui que ce soit ! _ Je viens ici pour t'apporter un message de la part d'Enyeto, mais je peux repartir, si cela te gène. _ Quel est le message ? _ Il détient Farah, votre compagne et elle se déplace avec lui pour rejoindre l'endroit où se trouve l'enfant Céleste ! _ Je vois qu'Enyeto à décider de prendre les grands moyens! Attilius se leva fou de rage, dis lui qu'il n'a pas intérêt à lui faire du mal, ou je m'occupe personnellement de lui. _ Je suis désolé, mais je ne peux pas repartir, j'ai une mission à remplir ! _ Celle de nous suivre ? Mais pourquoi avoir attaqué l'elfe ? _ Une faveur accordé par mon seigneur ! Je vous laisse, je dois m'éloigner de ce lieu.
Attilius n'eut pas le temps de prononcer une autre phrase, qu'il avait disparu à toute vitesse. Il n'arrivait plus à penser, son coeur battait rapidement. Enyeto avait enlevé la femme qu’il aimait, de plus l'enfant ne devait pas tarder à naître. Quel dilemme, il devra choisir entre la famille et l'enfant Céleste, il fallait trouver une solution. Il leva la tête et aperçut le reste du groupe qui arrivèrent extenué. Ils remarquèrent l'expression sur son visage et s'inquiétèrent de son silence. Galaad eut le courage de prendre la parole en premier, mais il avait une petite idée de ce qui pouvait se passer.
_ Attilius, ne nous dîtes pas que Manoah ... _ Non elle va bien, elle se repose. _ Que se passe t il alors ? Vous avez l'air inquiet je dirai même affolé et en colère ! Ozalee serrait la main de Merwan avec peur. _ J'ai reçu un message de la part du Seigneur Enyeto ... _ Il a la prêtresse Farah n'est ce pas ! Cria Galaad
D'un coup le mage se laissa tomber au sol, la tête dans les mains.
_ Attilius ! Ozalee se précipita vers lui. _ Je suis sûr qu’elle ne va pas se laisser faire et puis elle sait se battre. Le rassura Galaad. _ Pourquoi enlever la prêtresse, elle ne va rien lui apporter ? S'interrogea Merwan. _ Ce n'est pas ce qu'elle a lui apporter, mais ce qu'elle va pouvoir faire en échange de sa vie ! Expliqua Galaad. _ Quoi ! Firent Merwan et Ozalee en même temps. _ Il faut leur dire Attilius.
Le mage était resté assis, son visage dans ses mains, sans un bruit, il n'avait plus goût à rien, mais il savait qu'il devait être fort. Il se leva, remit son chapeau sur la tête et regarda les trois personnes debout devant lui. Galaad avait raison, il était temps de leur dire la vérité, et puis ils pouvaient peut être trouver une solution.
_ Il faut que vous sachiez que Farah est ma compagne et notre enfant ne va pas tarder à venir au monde. _ Vous êtes le père de l'enfant ! S'étonna Ozalee _ Tu étais au courant pour Farah ! _ Vous nous avez mis dans la même chambre à l'auberge, donc Manoah et moi on n’est pas aveugle mais on ne connaissait pas le père. _ Je vous comprends Attilius on fera tout pour la sauver. Répondit Merwan. _ Merci, maintenant allons nous reposer et occupons nous de Manoah. Nous allons rester ici pendant quelques jours, le temps que votre amie ait repris toutes ses forces. | |
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